Objet vendu !
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Les femmes Zoulou portent des chapeaux larges, appelés Isicholos (pl. izicholo), comme celui-ci, pour proclamer leur statut marital. Ces coiffes, comme tous les ornements perlés, étaient des signes distinctifs permettant de décoder le statut et l'identité de leur propriétaire.
Des chapeaux ronds et et coniques, les plus couramment diffusés, sont faits de cheveux humains mélangés à des fibres de laine, fixés sur un cadre en vannerie, et colorés en rouge puis enduits de graisses et d'ocre.
Ce type de coiffe est dérivé d'une coiffure portée vers la fin du XIXe et début du XXe siècle. A cette époque, les femmes Zoulou se rasaient la tête en laissant une touffe de cheveux qu'elles couvraient de graisse et d'ocre. La chevelure poussant, elles la façonnaient sur un cône postiche.
Dans le Ndwedwe, Maphumulo, Estcourt et d'autres régions, des chapeaux-bérets comme celui que nous vous présentons ont été embellis avec des motifs régionaux en perlage . Vous en voyez deux exemples portés ci-dessous.
Voici un chapeau circulaire ancien, de la région du Pomeroy, au centre du pays Zoulou, fabriqué en cheveux et laine, teint à l'ocre rouge mélangé à de la graisse.
Fiche technique
Pour découvrir cette ethnie, et d'autres objets de cette ethnie, cliquez sur son nom !
L'éthnie - peuple Zoulou / Zulu est présente dans le(s) pays suivant(s) :
Liste des ethnies du pays Lesotho dont nous présentons un ou plusieurs objets :
Références bibliographiques pouvant vous être utiles
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LES DERNIERS AFRICAINSLes femmes Zoulou portent des chapeaux larges, appelés Isicholos (pl. izicholo), comme celui-ci, pour proclamer leur statut marital. Ces coiffes, comme tous les ornements perlés, étaient des signes distinctifs permettant de décoder le statut et l'identité de leur propriétaire.
Des chapeaux ronds et et coniques, les plus couramment diffusés, sont faits de cheveux humains mélangés à des fibres de laine, fixés sur un cadre en vannerie, et colorés en rouge puis enduits de graisses et d'ocre.
Ce type de coiffe est dérivé d'une coiffure portée vers la fin du XIXe et début du XXe siècle. A cette époque, les femmes Zoulou se rasaient la tête en laissant une touffe de cheveux qu'elles couvraient de graisse et d'ocre. La chevelure poussant, elles la façonnaient sur un cône postiche.