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COLLECTION B. MIGNOT
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COLLECTION B. MIGNOT
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Statue figurant un ancêtre ?
Acquise il y a deux ans auprès du chef de village de Endé, village de la falaise de Bandiagara.
La majorité des Dogon pratique une religion animiste incluant l'esprit ancestral Nommo, avec ses festivals et une mythologie dans lesquels Sirius joue une part importante. Une minorité significative des Dogons s'est convertie à l'islam et quelques autres au christianisme.
Les Dogon tracent leur ascendance par un système patrilinéaire. Chaque communauté, ou chaque famille au sens large, est dirigée par un patriarche. Ce chef est l'aîné survivant de l'ancêtre de la branche locale de la famille. Selon la base de données NECEP, dans ce système patrilinéaire, des mariages polygames avec jusqu'à quatre épouses peuvent se produire.
La plupart des hommes, cependant, n'ont qu'une seule épouse, et il est rare qu'un homme ait plus de deux épouses. Selon les us, les épouses n'intègrent le foyer marital qu'après la naissance de leur premier enfant. Les femmes peuvent quitter leur mari peu après le mariage, avant la naissance de leur premier enfant. Après un accouchement, le divorce est rare et pris très aux sérieux, exigeant la participation de tout le village. Une famille au sens large peut compter jusqu'à cent personnes et s'appelle le guinna.
Les Dogon recherchent fortement l'harmonie, ce qui se traduit dans plusieurs de leurs rites. Par exemple, dans un de leurs rituels les plus importants, les femmes félicitent les hommes, les hommes remercient les femmes, les jeunes expriment leurs appréciations envers les vieux et les vieux identifient les contributions des jeunes. Un autre exemple est la coutume des salutations raffinées toutes les fois qu'un Dogon en rencontre un autre. Cette coutume est répétée à plusieurs reprises, dans tout le village de Dogon, toute la journée. Au cours de ces salutations formelles, la personne entrant répond à une série de questions au sujet de toute sa famille, posée par la personne qui était déjà là. Invariablement, la réponse est sewa, signifiant que ça va bien. Puis le Dogon entrant répète le rituel, demandant au résidant comment va sa famille entière. En raison de la répétition du terme sewa dans tout village Dogon, les peuples voisins ont nommé les Dogons les personnes de sewa.
Le Hogon est le chef spirituel du village. Il est élu parmi les hommes les plus âgés des familles du village. Après son élection il doit suivre six moix d'initiation, pendant lesquels il ne lui est permis ni de raser ni de se laver. Il porte des vêtements blancs et personne n'est autorisé à le toucher. Une jeune vierge prépubère prend soin de lui, nettoie sa maison et prépare ses repas. Elle rentre chez elle la nuit.
Après son initiation, il portera un bonnet rouge. Il a un brassard avec une perle sacrée qui symbolise sa fonction. La vierge est remplacée par une de ses épouses, mais celle-ci rentre aussi chez elle la nuit. Le Hogon doit vivre seul dans sa maison. Le Dogon croit que le serpent sacré Lébé vient pendant la nuit pour le purifier et lui communiquer la sagesse.
Texte extrait de Wikipédia
Pièce de grande qualité, de taille imposante 106 cm.
Le personnage est assez majestueux, bois clair, patine d'extérieur, fentes anciennes et craquelures de dessèchement du bois. La pièce à été acquise en 2009 après des années de négociations, par l'un des plus grands et plus anciens antiquaires de Bamako.
Elle était présente avec une autre statue, dans la cour du Hogon, depuis plus de deux générations, donc, probablement début 1900.
Le personnage représente le maitre des cérémonies de circoncision.
Fiche technique
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L'éthnie - peuple Bambara / Bamana est présente dans le(s) pays suivant(s) :
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